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Photographie | Peinture | Gravure | Dix-neuvième siècle | Fillettes | Alice au pays des merveilles - Lewis Carroll (1832-1898) | Littérature pour la jeunesse | Lewis Carroll (1832-1898) | Ornithologie | Mammifères | Lézards | Dessins et plans | Afrique | Biologie marine | Objets en bois | Biologie animale | Odilon Redon (1840-1916) | Chemises | Symbolisme (mouvement artistique) | Géographie | ...
Agame barbu. Source : http://data.abuledu.org/URI/54fe92c5-agame-barbu-

Agame barbu

Agame barbu (Pogona vitticeps) photographié au Jardin Zoologique de Stuttgart, Allemagne. C'est une espèce de sauriens de la famille des Agamidae, qui vit en Australie où elle est endémique. C'est une espèce populaire en terrariophilie. Pogona vitticeps est capable de moduler légèrement la couleur de ses écailles afin d'aider à la régulation de sa température. Comme beaucoup d'Agamidae, Pogona vitticeps possède des pattes puissantes qui lui permettent de décoller complètement son corps du sol lorsqu'il se déplace. Cela lui permet de limiter la chaleur reçue du sol et de réduire sa température par le flux d'air passant alors sous son ventre. Les écailles spécialisées des deux côtés de sa gorge, son cou et sa tête forment de petites épines qui courent le long des côtés du corps et de la queue. Ces épines peuvent être érigées en signe de menace lorsque l'animal gonfle la gorge, ce qui est une posture caractéristique de cet agame. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pogona_vitticeps

Alice en colère. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf0dc2-alice-en-colere

Alice en colère

Alice en colère, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : « Je ne me tairai pas, » dit Alice. « Qu’on lui coupe la tête ! » hurla la Reine de toutes ses forces. Personne ne bougea. « On se moque bien de vous, » dit Alice (elle avait alors atteint toute sa grandeur naturelle). « Vous n’êtes qu’un paquet de cartes ! » Là-dessus tout le paquet sauta en l’air et retomba en tourbillonnant sur elle...

Alice et le paquet de cartes. Source : http://data.abuledu.org/URI/532da2d0-alice-et-le-paquet-de-cartes

Alice et le paquet de cartes

Alice et le paquet de cartes (chapitre 12, La déposition d'Alice), 1909, illustré par Arthur Rackham (1867–1939) : On se moque bien de vous, dit Alice (elle avait alors atteint toute sa grandeur naturelle). Vous n’êtes qu’un paquet de cartes ! Là-dessus tout le paquet sauta en l’air et retomba en tourbillonnant sur elle ; Alice poussa un petit cri, moitié de peur, moitié de colère, et essaya de les repousser ; elle se trouva étendue sur le gazon, la tête sur les genoux de sa sœur, qui écartait doucement de sa figure les feuilles mortes tombées en voltigeant du haut des arbres.

Alice grandit encore. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf8d70-alice-grandit-encore

Alice grandit encore

Alice grandit encore, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Tout en causant ainsi, Alice était entrée dans une petite chambre bien rangée, et, comme elle s’y attendait, sur une petite table dans l’embrasure de la fenêtre, elle vit un éventail et deux ou trois paires de gants de chevreau tout petits. Elle en prit une paire, ainsi que l’éventail, et allait quitter la chambre lorsqu’elle aperçut, près du miroir, une petite bouteille. Cette fois il n’y avait pas l’inscription BUVEZ-MOI — ce qui n’empêcha pas Alice de la déboucher et de la porter à ses lèvres. « Il m’arrive toujours quelque chose d’intéressant, » se dit-elle, « lorsque je mange ou que je bois. Je vais voir un peu l’effet de cette bouteille. J’espère bien qu’elle me fera regrandir, car je suis vraiment fatiguée de n’être qu’une petite nabote ! » C’est ce qui arriva en effet, et bien plus tôt qu’elle ne s’y attendait. Elle n’avait pas bu la moitié de la bouteille, que sa tête touchait au plafond et qu’elle fut forcée de se baisser pour ne pas se casser le cou. Elle remit bien vite la bouteille sur la table en se disant : « En voilà assez ; j’espère ne pas grandir davantage. Je ne puis déjà plus passer par la porte. Oh ! je voudrais bien n’avoir pas tant bu ! » Hélas ! il était trop tard ; elle grandissait, grandissait, et eut bientôt à se mettre à genoux sur le plancher. Mais un instant après, il n’y avait même plus assez de place pour rester dans cette position, et elle essaya de se tenir étendue par terre, un coude contre la porte et l’autre bras passé autour de sa tête. Cependant, comme elle grandissait toujours, elle fut obligée, comme dernière ressource, de laisser pendre un de ses bras par la fenêtre et d’enfoncer un pied dans la cheminée en disant : « À présent c’est tout ce que je peux faire, quoi qu’il arrive. Que vais-je devenir ? »

Alice renverse le banc des jurés. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf1089-alice-renverse-le-banc-des-jures

Alice renverse le banc des jurés

Alice renverse le banc des jurés, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : « Voilà ! » cria Alice, oubliant tout à fait dans le trouble du moment combien elle avait grandi depuis quelques instants, et elle se leva si brusquement qu’elle accrocha le banc des jurés avec le bord de sa robe, et le renversa, avec tous ses occupants, sur la tête de la foule qui se trouvait au-dessous, et on les vit se débattant de tous côtés, comme les poissons rouges du vase qu’elle se rappelait avoir renversé par accident la semaine précédente.

Appui-tête Shona. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d30938-appui-tete-shona

Appui-tête Shona

Appui-tête shona en bois décoré du Zimbabwe, 19e siècle. Musée du quai Branly. Les shonas ont une longue tradition dans le travail du métal et du bois (tabatières, couteaux notamment). On connaît en particulier leurs appui-têtes (orthographe rectifiée de 1990) en bois décoré de motifs circulaires concentriques. On devrait plutôt parler d'appui-nuque, puisqu'il s'agit de protéger les coiffures en position allongée. Indépendamment de son aspect fonctionnel, cet accessoire, dont l'existence semble attestée depuis le XIIe siècle, permet aussi de communiquer avec les ancêtres pendant son sommeil, voire après sa mort, puisque les recherches archéologiques ont montré que des personnalités de haut rang étaient inhumées avec leur appui-tête. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Shonas

Arête du Spitzkopf dans les Vosges. Source : http://data.abuledu.org/URI/565d038e-arete-du-spitzkopf-dans-les-vosges

Arête du Spitzkopf dans les Vosges

Arête du Spitzkopf dans les Vosges. En alémanique, spitz et koepfe signifient respectivement "pointu" et "têtes" donc Spitzkoepfe peut se traduire par "têtes pointues". Les Spitzkoepfe sont une arête rocheuse du massif des Vosges dont la partie sommitale culmine à 1 290 mètres d'altitude. Située au sud du Hohneck et au nord-est du Kastelberg, elle fait office de séparation entre les cirques du Worsmpel au nord et de l'Ammelthal au sud. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Spitzkoepfe

Armérie maritime sauvage. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad28f6-armerie-maritime-sauvage

Armérie maritime sauvage

Oeillets marins, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Fleurs de Printemps, Paul Lechevalier, 1929. L'armérie maritime (Armeria maritima), œillet marin, gazon d'Olympe ou gazon d'Espagne, est une espèce de plantes herbacées vivaces de la famille des Plumbaginaceae. Sa répartition est au niveau du littoral de l'hémisphère nord. En France, elle est rencontrée sur les côtes de la Manche et de l'Atlantique (Vendée, Bretagne), sur les rochers et pelouses de bords de mer, battus par les embruns. C'est une plante basse à souche ramifiée, formant des coussinets, à feuilles linéaires, à fleurs roses en têtes denses, arrondies. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Arm%C3%A9rie_maritime

Banc de saupes. Source : http://data.abuledu.org/URI/548dba7a-banc-de-saupes

Banc de saupes

Banc de saupes (Sarpa salpa). La saupe est une espèce de poisson, appartenant à la famille des sparidés, commune en Méditerranée. L'adulte mesure en moyenne 35 cm et peut atteindre 50 cm. Le corps est ovale et comprimé latéralement. Il a des reflets argentés et est strié de 10 à 12 lignes longitudinales jaune vif qui vont de la tête, assez courte, jusqu'à la nageoire caudale. L'œil doré est assez gros et proche de la bouche, le dos est gris jaune à verdâtre avec des reflets or, les nageoires sont grisâtres. Les saupes vivent en bancs près du bord où elles affectionnent les herbiers (posidonies) et les fonds rocheux. Leur activité est essentiellement diurne et leur régime principalement végétarien. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Sarpa_salpa

Baudroie. Source : http://data.abuledu.org/URI/511cb371-baudroie

Baudroie

La baudroie commune souvent nommée lotte ou baudroie, est un poisson marin vivant le long des côtes d'Europe ; on la trouve fréquemment sur les côtes de Provence. Sa tête énorme la fait ressembler à un crapaud, sa peau est totalement lisse et ne possède aucune écaille. Son corps est oblong et presque cylindrique ; le dos est brun-jaune ou vert avec des marbrures sombres, les flancs sont clairs et le ventre est blanc. À vingt ans, elle peut atteindre 2 mètres pour un poids de 45 kg.

Braconnage de bécasses des bois. Source : http://data.abuledu.org/URI/5134e979-braconnage-de-becasses-des-bois

Braconnage de bécasses des bois

On chassait ou braconnait autrefois la volontiers la bécasse de nuit, quand elle quitte les fourrés pour partir à la recherche de nourriture, notamment en Bretagne, illustration gravée par Yan Dargent pour les Annales forestières, « Chronique forestière », chapitre "Les oiseaux des forêts" ; année 1868, volume 7. Légende d'époque : Ces oiseaux de passage, dont les chasseurs font le plus grand cas, nous arrivent par un temps sombre, le plus souvent la nuit ; ils s'abattent dans les taillis ou les futaies, et préfèrent les bois où il y a beaucoup de terreau humide et de feuilles mortes ; ils s'y trouvent si bien cachés qu'il faut des chiens pour les faire lever. Ils quittent ces fourrés à rentrée de la nuit pour se répandre dans les clairières en suivant les sentiers. C’est là qu'on les prend facilement au lacet. En Bretagne, on leur fait la chasse d'une singulière façon. Deux hommes se réunissent pour s'embusquer dans les pâturages de la forêt, où, sous les bousards (bouses) de vache, les bécasses trouvent une ample moisson de vers. L'un porte une lanterne et une sorte d'épinette fixée à l’extrêmité d'un long manche ; l'autre une de ces sonnettes qu'on attache au cou des vaches. Les oiseaux se laissent ainsi approcher d'assez près pour les enserrer dans les mailles d'un filet. La bécasse est, comme dit Belon, « une moult grosse bête, » si elle se laisse prendre de la manière qu'il raconte et qu'il nomme folâtrerie. « Un homme couvert d'une cape couleur de feuilles sèches, marchant courbé sur deux courtes béquilles, s'approche doucement, s'arrêtant lorsque la bécasse le fixe, continuant d'aller lorsqu'elle recommence à errer jusqu'à ce qu'il la voie s'arrêter la tête basse ; alors frappant doucement de ses deux bâtons l'un contre l'autre, la bécasse s'y amusera et affolera tellement, que le chasseur l'approchera d'assez près pour lui passer un lacet au cou. » La chair de la bécasse, y compris les excréments, est une friandise pour ceux qui l'aiment. C'est le cas de rappeler le proverbe latin : Degustibus... non est disputandum. Source : Belon, Histoire de la nature des oiseaux, p. S7S /Paris, 1355, in-fol. Jean-Édouard Dargent dit Yan' Dargent (1824-1899) est un peintre et illustrateur français dont la majeure partie de l'œuvre picturale est consacrée à sa région natale, la Bretagne.

Cinq chouettes. Source : http://data.abuledu.org/URI/54a70d14-cinq-chouettes

Cinq chouettes

Cinq Chouettes (Athene cunicularia) dites des terriers. Cette chevêche possède un plumage gris-brun piqueté de blanc sur le dessus, rayé de blanc sur le ventre ; sa couleur lui permet de se dissimuler lorsqu'elle est sur le sol. Le mâle et la femelle sont semblables, mais les jeunes ont la gorge de couleur chamois-rouille. Sa tête ronde est proche de celle des hiboux, ses yeux et son bec sont jaunes. Elle mesure environ 24 cm de la tête à la queue, pèse entre 125 et 175 grammes et peut vivre de 3 à 4 ans. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Chev%C3%AAche_des_terriers

Croix de l'ordre du Saint-Esprit. Source : http://data.abuledu.org/URI/53087140-croix-de-l-ordre-du-saint-esprit

Croix de l'ordre du Saint-Esprit

Croix de l'ordre du Saint-Esprit en héraldique. L’ordre du Saint-Esprit fut, pendant les deux siècles et demi de son existence, l’ordre de chevalerie le plus prestigieux de la monarchie française. Elle est composée à partir de la forme de la croix de Malte, à quatre branches, terminées par huit pointes boutonnées ; elle est anglée de fleur de lys. D'or, les branches émaillées de vert, bordé de blanc. La croix présente en son centre : à l'avers une colombe aux ailes déployées et à la tête dirigée vers le bas ; au revers Saint-Michel. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ordre_du_Saint-Esprit.

Descriptif du château de Sarzay. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f1963c-descriptif-du-chateau-de-sarzay

Descriptif du château de Sarzay

Descriptif bilingue du château de Sarzay : "Ce château construit au XVI° siècle fut une imposante forteresse comprenant 38 tours et 3 ponts-levis, elle sortit intacte de la Guerre de Cent ans, des guerres de religion, de la Fronde et de la Révolution. Les armoiries : trois têtes de léopard et trois têtes d'anglais tranchées. Il est aujourd'hui un des monuments les plus photographiés. George Sand y situe son roman "Le meunier d'Angibault".

Don Quichotte pour enfants - 08. Source : http://data.abuledu.org/URI/555cdcf1-don-quichotte-pour-enfants-08

Don Quichotte pour enfants - 08

Illustration réalisée par Armand-Louis-Henri Telory, lithographe, pour l'adaptation pour enfants de Don Quichotte parue au XIXe siècle et rééditée au XXe siècle par Mango - collection Au Temps Jadis, scannée par Cyrille Largillier. Malgré les soins dont l'entourent sa nièce et sa gouvernante, seul son corps guérit mais son état mental demeure le même et comme le dit le proverbe, « Quand la tête a mal, tous les membres souffrent. » Sancho lui apprend qu'un livre vient d'être publié avec l'histoire de ses premières aventures et les voilà repartis pour de nouvelles expéditions. Don Quichotte envoie Sancho porter une lettre à sa Dulcinée. Peu désireux de chercher le château du Tobosco de cette princesse imaginaire, l'écuyer fait croire à son maître qu'une paysanne qui passe sur son âne est la princesse Dulcinée elle-même. Don Quichotte court se jeter à ses pieds. Effrayé, son âne la jette par terre en prenant la fuite. Dès qu'elle se relève, elle prend aussi la fuite.

Enseigne de charcuterie de 1932. Source : http://data.abuledu.org/URI/534ecf34-enseigne-de-charcuterie-de-1932

Enseigne de charcuterie de 1932

Enseigne de charcuterie rue des Têtes, à Colmar "Aux deux frères, charcuterie, Fincker Frères" : deux chefs cuisiniers portent solennellement des plateaux avec un jambon et une tête de sanglier ; une gardienne d'oies pousse trois oies devant elle de sa baguette, un moine lit un ouvrage à un cochon attentif ("Le grand saint antoine"). Signé "FFC". Ferronnerie de Paul Bass, peinture de Fleckinger, 1932.

Gazelle des sables. Source : http://data.abuledu.org/URI/516c47e5-gazelle-des-sables

Gazelle des sables

Gazelle (Gazella leptoceros mâle). La gazelle leptocère, aussi appelée gazelle de Rhim, gazelle des sables ou gazelle à cornes fines, se rencontre dans les régions quasi désertiques d'Égypte, d'Algérie, du Tchad, du Mali, du Niger, du Soudan, de Tunisie et de Libye. Elle mesure environ 95 à 115 cm de long pour 58 à 72 cm au garrot, et a un poids de 14 à 30 kg (selon les individus). Elle arbore une robe pâle, de couleur sable qui se confond avec les milieux où elle vit. Son ventre est blanc et son dos beige fauve pâle. Sa tête est blanche avec quelques marques noires, les cornes, plus fines chez la femelle, sont presque droites, mesurant de 21 à 43 cm. et le bout de la queue est noir. En raison de la chaleur extrême de son environnement, elle s'alimente surtout la nuit et au petit matin. Elle peut alors exploiter la rosée qui s'est formée sur les feuilles et le contenu d'eau dans les plantes. Comme elle boit rarement, toute l'eau nécessaire est obtenue de cette façon. La gazelle des sables est une espèce nomade, errant dans les dunes à la recherche de végétation. Les mécanismes de rafraîchissement principaux sont dans son pelage blanc/sable réfléchissant et un passage nasal particulièrement adapté qui tient compte du rafraîchissement du sang. Malgré leurs apparences douces, les gazelles des sables deviennent agressives en captivité et les mâles luttent souvent avec acharnement en défendant les territoires qu'ils établissent. Très rapide à la course, sa vitesse atteint 72 km/h sur 700 mètres avec des pointes à 100 km/h sur de courtes distances.

Gros plan sur une tête de fourmi bouledogue australienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/534ba28b-gros-plan-sur-une-tete-de-fourmi-bouledogue-australienne

Gros plan sur une tête de fourmi bouledogue australienne

Gros plan sur une tête de fourmi bouledogne australienne, Myrmecia. Ces grandes fourmis alertes ont comme caractéristique d'avoir de grands yeux et de longues mandibules grêles. Elles ont une vision supérieure, capable de repérer et même suivre des intrus à une distance de un mètre. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Myrmecia

Hibou moyen-duc. Source : http://data.abuledu.org/URI/53543d7b-hibou-moyen-duc

Hibou moyen-duc

Hibou moyen-duc (Asio otus). Avec ses 35 cm de long environ, le moyen-duc est légèrement plus petit et plus menu que la Chouette hulotte. Sa tête est surmontée de deux grandes aigrettes souvent dressées : on dit qu'il "fronce les sourcils". Et d'ailleurs, elles sont couchées quand le hibou est serein. Ses yeux jaune-orangé sont au centre d'un disque facial arrondi beige/roux. Il a une longueur de 31-37 cm, un poids de 250 g pour les mâles ou de 300 g les femelles. Son envergure est de 86 à 98 cm. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hibou_moyen-duc

Koudou. Source : http://data.abuledu.org/URI/507546d8-koudou

Koudou

Le Grand koudou, Tragelaphus strepsiceros, est un mammifère africain de la famille des bovidés. Son corps est strié de 13 ou 14 raies blanches verticales. Une tache blanche bien visible orne sa gorge et une barre blanche son poitrail. e chevron blanc entre ses yeux de velours et la tache blanche autour de sa bouche donnent du caractère à sa face sombre. Une courte crinière blanche qui court le long de son cou, de ses épaules et de son dos. Quant à sa tête, elle est couronnée de deux cornes divergentes qui s’enroulent gracieusement en trois spires. Les sabots du Grand koudou sont adaptés aux terrains accidentés. De ce fait, il a une course gauche et lente en terrain plat, mais il est rapide en terrain accidenté (rocheux, montagneux). C'est un excellent sauteur ; il peut franchir d'un bond des obstacles de 2,50 mètres de hauteur.

L'Afrique. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b2131f-l-afrique

L'Afrique

René de Saint-Marceaux (1845-1915) : étude des têtes des cinq continents pour le monument de l'Union postale universelle : l'Afrique. Plâtre (Musée des beaux-arts de Reims).

L'araignée d'Odilon Redon. Source : http://data.abuledu.org/URI/5116bf23-l-araignee-d-odilon-redon

L'araignée d'Odilon Redon

L'araignée, 1881, d'Odilon Redon (1840-1916) : "The crying spider" représente une créature mi-humaine mi-monstre, on dirait une araignée qui pleure, elle est triste, elle a une tête d'homme et dix pattes, elle est noire dans une salle blanche, jaune.

La géante Melle Victoire. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc30c0-la-geante-melle-victoire

La géante Melle Victoire

il est attesté un géant Victoire en 1793, à l'initiative du bourgmestre de l'époque, pour célébrer une victoire des Autrichiens sur les Français. Mais son existence fut éphémère. Elle ne participa qu'à une seule ducasse avant d'être détruite en 1794 avec les autres géants. Elle fut donc recréée en 1860, sous le nom « La Ville d'Ath » avant de (re)devenir Mlle Victoire. La tête est l'œuvre d'Ernest Ouverleaux, d'après un dessin d'Henri Hanneton, directeur de l'Académie de dessin d'Ath.

La légende de la chauve-souris de Saint-Tréguier. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d709cd-la-legende-de-la-chauve-souris-de-saint-treguier

La légende de la chauve-souris de Saint-Tréguier

Tréguier : le cloître jouxtant la cathédrale Saint-Tugdual. "Au temps jadis, une souris vint à demander l'hospitalité à une hirondelle qui avait bâti son nid dans une vieille cheminée et couvait ses œufs ; celle-ci, que son mari avait abandonnée, y consentit, mais à la condition que, durant trois jours, la souris couverait à sa place. La souris accomplit sa tâche, puis elle partit. Voilà les petits éclos, mais ils étaient couverts de poils au lieu des plumes, et ils avaient une tête et un corps de souris, avec des oreilles et des ailes crochues comme le diable. L'hirondelle en mourut de chagrin ; après ses funérailles, la reine des hirondelles fit enfermer les orphelins dans le cloître de la cathédrale de Tréguier et leur défendit, sous peine de mort, de ne jamais sortir à la lumière du soleil. Voilà pourquoi on ne voit jamais de chauve-souris pendant le jour". (Légende recueillie par G. Le Calvez, instituteur à Caulnes à la fin du XIXe siècle, citée par Le Télégramme no 20288, 22 septembre 2010). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Chiroptera.

La philosophie et les sept arts libéraux. Source : http://data.abuledu.org/URI/530fb53e-la-philosophie-et-les-sept-arts-liberaux

La philosophie et les sept arts libéraux

Représentation de la philosophie et des arts libéraux, in "Hortus Deliciarum" de Herrad von Landsberg, aux alentours de 1180. La philosophie, figure principale, est surmontée de trois têtes identifiées comme étant l'Éthique, la Logique et la Physique. Elle tient dans la main droite une inscription où l'on peut lire "Omnis sapientia a Domino Deo est" (Toute sagesse vient du seigneur), phrase par laquelle débute le texte biblique de l'Ecclésiaste. Sept fontaines de sagesse s'en écoulent, correspondant aux allégories des sept arts libéraux : Grammaire, Rhétorique, Dialectique, Musique, Arithmétique, Géométrie et Astronomie. Dans le cercle central, se trouvent intégrés Socrate et Platon. À l'extérieur, placés au bas de l'image, quatre personnages sont en train d'écrire, chacun étant accompagné d'un oiseau noir perché sur l'épaule qui semble lui chuchoter à l'oreille. Il s'agit d'une allégorie de l'esprit mauvais qui inspire les écrits des auteurs païens. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hortus_deliciarum.

La tricoteuse. Source : http://data.abuledu.org/URI/5101d211-la-tricoteuse

La tricoteuse

La tricoteuse, 1869, de William Bouguereau (1825-1905) : Jeune fille tricotant assise contre un arbre. Elle porte une jupe longue et un tablier, un corsage et une chemise aux manches retroussées, ainsi qu'un fichu sur la tête ; elle est pieds nus.

La vendangeuse. Source : http://data.abuledu.org/URI/5101d396-la-vendangeuse

La vendangeuse

La vendangeuse, 1874, de Wiliam Bouguereau (1825-1905). Elle porte une jupe longue foncée et un corsage blanc, ainsi qu'un foulard sur la tête. Le raisin noir ramassé est dans le panier en bois traditionnel des vendangeurs.

Le conte d'Ourson, chapitre 5. Source : http://data.abuledu.org/URI/53138f9a-le-conte-d-ourson-chapitre-5

Le conte d'Ourson, chapitre 5

Le conte d'Ourson, chapitre 5, Le crapaud encore, par la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931) : Quand Ourson fut éloigné, Violette éprouva un malaise qu'elle attribua à la douleur que lui causait sa blessure. Une répulsion extraordinaire la portait à retirer son pied du ruisseau où il était plongé. Avant qu'elle se fut décidée à obéir à ce sentiment étrange, elle vit l'eau se troubler, et la tête d'un énorme Crapaud apparut à la surface ; les gros yeux irrités du hideux animal se fixèrent sur Violette, qui, depuis son rêve, avait toujours eu peur des crapauds. L'apparition de celui-ci, sa taille monstrueuse, son regard courroucé, la glacèrent tellement d'épouvante qu'elle ne put ni fuir ni crier. "Te voilà donc enfin dans mon domaine, petite sotte ! lui dit le crapaud. Je suis la fée Rageuse, ennemie de ta famille."

Le géant Totor. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc84de-le-geant-totor

Le géant Totor

Le géant Totor de Steenwerck (Nord) avec haut-de-forme, nœud papillon et smoking noir. Totor est un géant de processions et de cortèges inauguré en 1933 à l'initiative de 3 jeunes musiciens. Une chanson populaire de l'époque avait pour titre "Totor, t'as tort". Avec quelques arrangements locaux, elle devint "la chanson de Totor" qui donna son nom au géant. Son corps était en bois, fourni et coupé par le menuisier du village et cintré par le tonnelier. Sa tête en carton avait été achetée à Lille et ramenée à Steenwerck à bicyclette. Son chapeau haut de forme était fait de cordes de piano assemblées et recouvertes d'une toile noire raidie. Il portait au bras un parapluie. Il mesurait 4.75m et pesait 60kg. Il disparut pendant le 2ème guerre mondiale. Plus petit que son ainé et installé sur un char, Totor 2 vit le jour en 1947. Une chaine de montre reliait la poche de sa redingote au premier des deux boutons qui la fermaient. Il portait une jupe de toile à carreaux noirs et blancs. Les fêtes populaires disparaisant, il prit sa retraite dans une remise où l'humidité et les rongeurs mirent fin à son existence. Réalisé en 1978 par le vannier du village, Totor 3 mesure 5.70m, pèse 120 kg habillé (93 kg nu) et est porté par 5 porteurs. Ses vêtements se composent d'un plastron en ottoman à dix plis plats, d'un nœud papillon noir, d'une veste de tergal noire et d'une jupe de nylon beige. Depuis plusieurs années, il laisse son parapluie au vestiaire. Il passe maintenant une retraite bien méritée au Musée de le Vie Rurale de Steenwerck. Entièrement réalisé à l'identique de Totor 3, Totor 4 a vu le jour le 24 septembre 2006. Silhouette noire et blanche, Totor arbore un haut-de-forme, un nœud papillon, un smoking et des gants. Il a les yeux écarquillés et, pratiquement, la seule variante de couleur est le rouge de ses lèvres qui souligne son léger sourire ... ou sa satisfaction. Comme pour tous les géants d'une telle taille, son équipe d'accompagnateurs doit comporter au moins une personne chargée de soulever les fils électriques lors de son passage.

Le lézard d'Alice. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cfda5d-le-lezard-d-alice

Le lézard d'Alice

Le lézard projeté hors de la cheminée par le coup de pied d'Alice enfermée, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Elle retira son pied aussi bas que possible, et ne bougea plus jusqu’à ce qu’elle entendît le bruit d’un petit animal (elle ne pouvait deviner de quelle espèce) qui grattait et cherchait à descendre dans la cheminée, juste au-dessus d’elle ; alors se disant : « Voilà Jacques sans doute, » elle lança un bon coup de pied, et attendit pour voir ce qui allait arriver. La première chose qu’elle entendit fut un cri général de : « Tiens, voilà Jacques en l’air ! » Puis la voix du Lapin, qui criait : « Attrapez-le, vous là-bas, près de la haie ! » Puis un long silence ; ensuite un mélange confus de voix : « Soutenez-lui la tête. — De l’eau-de-vie maintenant. — Ne le faites pas engouer. — Qu’est-ce donc, vieux camarade ? — Que t’est-il arrivé ? Raconte-nous ça ! » Enfin une petite voix faible et flûtée se fit entendre. (« C’est la voix de Jacques, » pensa Alice.) « Je n’en sais vraiment rien. Merci, c’est assez ; je me sens mieux maintenant ; mais je suis encore trop bouleversé pour vous conter la chose. Tout ce que je sais, c’est que j’ai été poussé comme par un ressort, et que je suis parti en l’air comme une fusée. »

Le mois de Mai des Très Riches Heures du Duc de Berry. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c528d-le-mois-de-mai-des-tres-riches-heures-du-duc-de-berry

Le mois de Mai des Très Riches Heures du Duc de Berry

Le mois de Mai des Très Riches Heures du duc de Berry : Ce mois est illustré par la cavalcade traditionnelle du 1er mai : des jeunes gens vont à cheval, précédés de joueurs de trompettes. Ils partent en forêt chercher des rameaux qu'ils porteront sur la tête ou autour du cou. À cette occasion, les dames arborent une longue robe verte, comme c'est ici le cas de trois d'entre elles. Plusieurs personnages portent des feuillages dans leur coiffure. Les constructions de l'arrière-plan ont donné lieu à des interprétations divergentes. Il pourrait s'agir du palais de la Cité à Paris avec le Châtelet à gauche, la Conciergerie et la tour de l'Horloge.

Logo des empereurs romains. Source : http://data.abuledu.org/URI/5091ab68-logo-des-empereurs-romains

Logo des empereurs romains

Logo des empereurs romains : IMPERATORES ROMANI en latin. La couronne de laurier est utilisée sous la République et l'Empire romain comme distinction honorifique décernée à un général romain triomphant. Composée de deux rameaux de laurier, elle est placée sur sa tête, en symbole de gloire, au moment de son acclamation en qualité d'imperator.

Mante religieuse et abeille. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f5a09e-mante-religieuse-et-abeille

Mante religieuse et abeille

Mante religieuse mangeant une abeille à Saitama au Japan. La mante religieuse est un insecte diurne de 5 à 8 centimètres de long. Ses yeux protubérants et très écartés lui donnent une excellente vision en relief (ce qui donne une vision humaine mais jusqu'à 20 m). Contrairement aux autres insectes, la mante peut faire pivoter sa tête à 180 °, ce qui lui permet de suivre les déplacements de ses proies sans bouger le corps. Elle possède deux yeux composés (ou à facettes) et trois ocelles (yeux simples) entre les antennes.

Marie aux sabots de bois se gage - 10. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bcca20-marie-aux-sabots-de-bois-se-gage-10

Marie aux sabots de bois se gage - 10

Marie aux Sabots de bois se gage - 10 Jordic (1876 - 1915) : ... mise à la porte et si elle fut giflée d'importance par Maman Mariannick. On lui trouve tout de même une autre place chez Mme Sabreur, la veuve du colonel, qui commande de suite : -- Petite, tu vas faire le ménage : d'abord ma chambre. Ouste ! Dépêche-toi ! La jeune bonne prend le tapis, une splendide peau de tigre que le colonel a rapportée jadis d'Algérie. Elle la prend par les deux pattes de derrière et va à la fenêtre pour bien secouer la poussière. Vlan !... Mais notre étourdie n'a pas songé que la tête de tigre est très lourde ; son poids entraîne Marie, et les bonnes des voisins entendant des cris, aperçoivent la fillette, qui semble voler, à la suite du tapis. Or, au rez-de-chaussée, se trouve l'épicerie de M. Poivre. On y vend de tout : sucre, café, riz, pruneaux, même des légumes et des lapins, qu'on...

Mascottes des JO de Londres. Source : http://data.abuledu.org/URI/51156e64-mascottes-des-jo-de-londres

Mascottes des JO de Londres

Mandeville (à gauche) et Wenlock sont les mascottes officielles, la première pour les Jeux olympiques d'été de 2012 et la deuxième pour les Jeux paralympiques. Elles ont été présentées au public le 19 mai 2010. Elles représentent les deux dernières gouttes d'acier qui ont été utilisées pour la construction du stade olympique de Londres. Les mascottes n'ont qu'un seul œil et une lumière jaune sur la tête inspirée par les taxis londoniens. Ces personnages ont été créés par l'agence de communication anglaise Iris tandis que l'écrivain et poète Michael Morpurgo a inventé leur biographie. Wenlock tient son nom de la ville de Much Wenlock située dans le comté du Shropshire. Le baron Pierre de Coubertin y fut invité en 1890 pour assister aux « Wenlock Olympian Society Annual Games » (Jeux annuels de Much Wenlock), festival créé en 1850 et qui était précurseur aux Jeux Olympiques modernes. Mandeville tient son nom du village de Stoke Mandeville dans le comté de Buckinghamshire, lieu même où furent organisés en 1948 les premiers « Jeux mondiaux des chaises-roulantes et des amputés » qui deviendront en 1960 les jeux paralympiques.

Orphée à la surface de l'eau. Source : http://data.abuledu.org/URI/5116dbf6-orphee-a-la-surface-de-l-eau

Orphée à la surface de l'eau

La tête d'Orphée, flottant à la suface de l'eau, 1881, par Odilon Redon (1840-1916). La légende d'Orphée, une des plus singulières de la mythologie grecque, est liée à la religion des mystères ainsi qu'à une littérature sacrée. Aède mythique de Thrace, fils du roi Œagre et de la muse Calliope, il savait par les accents de sa lyre charmer les animaux sauvages et parvenait à émouvoir les êtres inanimés. Il fut comblé de dons multiples par Apollon, et on raconte qu'il ajouta deux cordes à la traditionnelle lyre à sept cordes que lui donna le dieu, en hommage aux neuf muses, auxquelles appartenait sa mère. Il passe pour être l'inventeur de la cithare. Héros voyageur, il participa à l'expédition des Argonautes. Il y faisait office de chef de nage c'est-à-dire qu'il donnait par son chant la cadence aux coups de rame des autres héros. Son chant permit également à l'expédition de résister au danger du chant des sirènes dont il parvint à surpasser le pouvoir de séduction. Il se rendit jusqu'en Égypte, puis revint en Grèce. À la fin de son périple, il rentra en Thrace, dans le royaume de son père. Sa femme, Eurydice (une dryade) fut, lors de leur mariage, mordue au pied par une vipère. Elle mourut et descendit au royaume des Enfers. Orphée put, après avoir endormi de sa musique enchanteresse Cerbère, le monstrueux chien à trois têtes qui en gardait l'entrée, et les terribles Euménides, approcher le dieu Hadès. Il parvint, grâce à sa musique, à le faire fléchir, et celui-ci le laissa repartir avec sa bien-aimée à la condition qu'elle le suive et qu'il ne se retourne ni ne lui parle tant qu'ils ne seraient pas revenus tous deux dans le monde des vivants. Alors qu'Orphée s'apprêtait à sortir des Enfers, il ne put résister à la tentation de contempler sa bien-aimée, et Eurydice disparut définitivement.

Paon bleu. Source : http://data.abuledu.org/URI/5135135f-paon-bleu

Paon bleu

Paon bleu, par Archibald Thorburn (1860-1935), illustrateur écossais spécialiste des oiseaux et de leur environnement naturel. Le Paon bleu (Pavo cristatus) est une espèce d'oiseau galliforme de la famille des phasianidés. Ce paon est connu pour ses couleurs brillantes et sa queue magnifique qu'il peut déployer en roue. C'est un oiseau originaire d'Asie (plus principalement d'Inde et du Sri Lanka). Le mâle est facilement reconnaissable à son plumage, sa huppe et sa traîne. Il mesure 90 cm à 110 cm sans sa queue, atteignant 3 m avec sa queue. La tête, le cou et la poitrine sont bleu-vert et violet avec des reflets métalliques. Autour des yeux se trouve une tache dénudée, et une crête de plumes, munies de barbes uniquement à leur extrémité, orne la couronne. Le bec, d'assez grande taille, est brun clair comme l'iris. Les plumes du dos sont vert doré avec des bordures couleur bronze, les couvertures alaires tertiaires blanches avec de fines rayures noires, les couvertures alaires primaires et secondaires d'un bleu-vert métallique et les rémiges et rectrices brunes. Les plumes sus-caudales au nombre de 100 à 150 en moyenne sont beaucoup plus longues que les rectrices et forment la traîne du paon. Ces plumes dites en « terminaison en queue de poisson » peuvent atteindre jusqu'à 1,5 mètre de longueur - elles grandissent jusqu'à la sixième année - mais en principe ne dépassent pas un mètre. Elles possèdent de longues barbes vert métallique avec des reflets bleus et de couleur bronze, formant, près de leur extrémité, une tache évoquant un œil et connue sous le nom d'ocelle (ocelles disposés à l'intersection de deux familles de spirales), dont le centre d'un bleu vif est entouré d'anneaux concentriques brun, jaune d'or et violet.

Phare d'Ailly en Haute-Normandie. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e1ec1-phare-de-ailly

Phare d'Ailly en Haute-Normandie

Le phare moderne d'Ailly a été construit sur la pointe d'Ailly, au sud-ouest de Dieppe, sur une falaise soumise à érosion. Les travaux débutent en 1951. On place cinquante deux pieux de huit mètres en béton dont la tête est coulée sous un radier de 1,60 mètre d'épaisseur. Ils sont destinés à recevoir les 1 000 tonnes du phare. La tour carrée en pierres de Mignac est revêtue, à l'intérieur, d'un parement de béton de porphyre rouge bouchardé. Le porche de la tour est en granit. L'ensemble est sobre et ses lignes pures. La lanterne à coupole est peinte en vert. Elle s'élève à 16,53 mètres du sol et à 94,58 mètres de la mer. Le vieux phare de 1775 reste en service jusqu'au 22 avril 1958, date à laquelle le phare actuel est allumé. Depuis 2001, le phare est équipé de capteurs atmosphériques destinés à mesurer la qualité de l'air. Il faut gravir 91 marches pour admirer un panorama exceptionnel : depuis les falaises de Saint-Valery-en-Caux jusqu’à la baie de Somme. Depuis le 24 novembre 2010 le phare est en totalité inscrit monument historique, à savoir : la tour, le bâtiment technique, la maison du gardien, le portail d’entrée ainsi que le tronc de la Société nationale de sauvetage en mer. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_d%27Ailly

Pion de tric-trac en ivoire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fb06d3-pion-de-tric-trac-en-ivoire

Pion de tric-trac en ivoire

Judith et Holopherne, pion de trictrac. Ivoire, France de l'Ouest, XIIe siècle, trouvé à Bayeux en 1838. Nabuchodonosor II a envoyé Holopherne châtier les peuples de l'ouest parce qu'ils ont refusé de le soutenir dans la guerre qu'il a menée contre le roi perse Arphaxad (cf. Judith I, 1). Après avoir pillé, tué et ravagé dans tout le Proche-Orient, Holopherne assiège Béthulie, une ville juive (probablement Massalah) qui barre un passage dans les montagnes de Judée. Comme l'eau vient à manquer, les habitants sont sur le point de se rendre, mais une jeune veuve, Judith, d'une extraordinaire beauté et d'une richesse considérable, prend la décision de sauver la ville. Avec sa servante et des cruches de vin elle pénètre dans le camp d'Holopherne ; ce dernier est tout de suite ensorcelé par la beauté et l'intelligence de cette femme ; il organise en son honneur un grand banquet à la fin duquel ses domestiques se retirent discrètement pour ne pas troubler la nuit d'amour qui, pensent-ils, attend leur maître. Mais elle continue à l'enivrer et, quand il est hors d'état de se défendre, elle le décapite avec l'aide de sa servante et revient à Béthulie avec la tête. Quand les soldats découvrent au matin leur chef assassiné, ils sont pris de panique.

Poisson-licorne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5543fb69-poisson-licorne

Poisson-licorne

Poisson licorne (Naso unicornis). Les Poissons-licornes ou nasons forment un genre de la famille des Acanthuridae, les poissons-chirurgiens. C'est le seul genre dans la sous-famille des Nasinae. Les membres des Nasinae sont communément appelés "licornes" à cause de leur unique "corne" qui se developpe sur le front des mâles de plusieurs espèces. Les espèces du genre Naso ont un corps ovale et allongé qui se rétrécit à l'arrière pour se terminer par un pédoncule caudal très étroit typique du genre. Le museau est pointu, la bouche est petite et située à mi-hauteur du corps. Elle est garnie de 60 à 80 petites dents par mâchoire. Elles sont minces mais coupantes avec leur bord denté. Les yeux sont situés haut et de part et d'autre de la tête. Les poissons-licornes sont présents dans tout l'Indo-Pacifique tropical. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Naso_%28poisson%29

Poule domestique Brahma. Source : http://data.abuledu.org/URI/54fe86db-poule-domestique-brahma

Poule domestique Brahma

Brahma blanc herminé noir photographié au Parc de Sainte Croix, Rhodes (Moselle). La Brahma est une volaille très rustique, docile, facile à élever, s'adaptant bien à tous les climats. C'est une grosse mangeuse peu habile à chercher seule sa nourriture, elle s'habitue donc bien à la claustration. Volaille géante d'origine asiatique, créée aux États-Unis à partir de Cochin auquel du sang de combattant Malais a été ajouté donnant cette « tête de rapace » caractéristique. Elle fut importée en Europe occidentale vers 1850. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Brahma_%28race_de_poule%29

Rampe d'escalier en bois. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b58072-rampe-d-escalier-en-bois

Rampe d'escalier en bois

Rampe d'escalier en bois de la Villa Saint Cyr à Bourg-la-Reine (Hauts-de-Seine). La tête de départ de rampe est une pièce souvent arrondie qui orne le début d’une rampe d’escalier. Elle peut être réalisée en bois, en fer forgé ou en pierre.

Ruines de l'église d'Ornes pendant la première guerre mondiale. Source : http://data.abuledu.org/URI/5432bca3-ruines-de-l-eglise-d-ornes-pendant-la-premiere-guerre-mondiale

Ruines de l'église d'Ornes pendant la première guerre mondiale

Ruines de l'église d'Ornes pendant la première guerre mondiale, par Georg Diancourt, soldat allemand qui a photographié les zones de combats durant la première guerre mondiale. Bien qu'il comporte encore quelques maisons et garde une poignée d'habitants permanents, le village est classé comme « mort pour la France ». Il fait partie des villages français détruits durant la Première Guerre mondiale, de même que les localités voisines de Bezonvaux, Douaumont et Vaux-devant-Damloup. Comme elles, il continue à bénéficier d'une existence officielle en tant que commune, mais avec à sa tête un maire nommé par le préfet de la Meuse. Le 21 février 1916, le tonnerre des canons marque le début de la bataille de Verdun. Situé sur le secteur de Verdun, le village, pris par les troupes allemandes le 24 février 1916, sera repris par les Français le 23 août 1917. Entre-temps il aura été totalement ruiné sous l'acharnement des échanges d'artillerie. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ornes

Schéma de micelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a202f5-schema-de-micelle-

Schéma de micelle

Schéma d'une micelle formée par des phospholipides en milieu aqueux. Une micelle (nom féminin dérivé du nom latin mica, signifiant « parcelle ») est un agrégat sphéroïdal de molécules possédant une tête polaire hydrophile dirigée vers le solvant et une chaîne hydrophobe dirigée vers l'intérieur. Une micelle mesure de 0,001 à 0,300 micron. L'hydrophobie des chaînes entraîne le regroupement des molécules et la mise en place de structures sphériques ou cylindriques visant à éliminer le solvant. Elles sont faiblement liées, maintenues dans le solvant grâce à des agents qui les stabilisent, tels les détergents ou les macromolécules. Les solutions colloïdales — dont l'aspect évoque une colle (par exemple, un gel) — sont riches en micelles. On parle de micelles directes dans un solvant polaire, tel l'eau.

Statuette magique bicéphale du Sénégal. Source : http://data.abuledu.org/URI/5485a4e5-statuette-magique-bicephale-du-senegal

Statuette magique bicéphale du Sénégal

Musée barrois : statuette magique bicéphale (tête de houe). Sénégal. Bois, coquillages, poils.

Survirage sur un circuit. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d5b688-survirage-sur-un-circuit

Survirage sur un circuit

Trajectoire prévue en vert, survirage en rouge. Le véhicule dérape par les roues arrières, dans les cas extrêmes, la voiture fait un tête-à-queue. Ce phénomène s'explique souvent par une accélération trop violente ou trop précoce en courbe. En effet, la bonne tenue de la trajectoire d'une voiture tient à l'équilibre entre la force centrifuge qui s'applique à elle et la résistance de l'adhérence des pneus. Pour peu que l'accélération soit mal dosée, les pneus arrière ne parviennent pas à passer toute la puissance au sol et se mettent alors à patiner. En situation de glisse (voies glissantes), le train arrière n'a plus l'adhérence nécessaire pour s'opposer à la force centrifuge, il file à la dérive. La voiture part ainsi en dérapage avec le nez orienté vers l'intérieur du virage, elle vire trop par rapport à sa trajectoire initiale : elle « survire ». La prédisposition d'une voiture au survirage dépend en grande partie de la position de son centre de gravité, car c'est sur lui que s'applique la force centrifuge.

Tête de cerf. Source : http://data.abuledu.org/URI/54a18dd3-tete-de-cerf

Tête de cerf

Détail de la tête du Cerf, statue en fonte de Prosper Lecourtier (1851-1924) au parc des Grandes-Promenades de Wassy (Haute-Marne).

Tête de Gazelle Dama. Source : http://data.abuledu.org/URI/516c4a44-tete-de-gazelle-dama

Tête de Gazelle Dama

La Gazelle dama (Gazella dama, ou Nanger dama) est une espèce de gazelle africaine devenue rare et menacée. C'est la plus grande gazelle actuelle. Le cou et les pattes sont très allongés. Les cornes assez courtes sont en forme de S dirigé vers l’arrière. Celles des mâles sont en général plus longues et plus robustes que celles des femelles. La tête est de couleur blanche et les femelles présentent une raie noire en travers de l’œil. Le cou, roux, porte une tâche blanche bien visible. Elle se déplace vers la zone saharienne au moment de la saison des pluies, lorsque les pâturages sont abondants et de bonne qualité et redescend dans la zone sahélienne durant la saison sèche. Elle fréquente plutôt les zones de dunes fixes, les steppes et prairies à acacias. Elles s'amusent aussi au « stotting » ou « pronking », qui sont des rebonds, une discipline commune chez toutes les gazelles, plus ou moins développée selon les espèces. Elle fait des petits bonds, c'est un animal paisible. Ses prédateurs naturels, sont les léopards, et autrefois les guépards du Sahara et les lions de l'Atlas dans une moindre mesure.

Tête de phacochère africain. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d56611-tete-de-phacochere-africain

Tête de phacochère africain

Tête de phacochère africain (Phacochoerus africanus) : Il a une longue crinière sur le haut du dos et deux défenses dirigées vers le haut, atteignant 60 cm chez les vieux individus. Elles lui servent notamment à déterrer des racines ou des bulbes, et aussi à se défendre contre ses prédateurs, lions, léopards, lycaons, hyènes ; les jeunes sont la proie des guépards, aigles, pythons, chacals, caracals, mais les parents sont de redoutables défenseurs. Le phacochère peut tenir tête à un léopard ou même à une lionne, et il n'hésite pas à charger s'il se sent menacé. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phacoch%C3%A8re Mâles et femelles ont des défenses. Ce sont des canines à croissance continue qui sont transformées en défenses, en faisant saillie hors de la bouche. Les mâles ont, en plus, des excroissances calleuses sur les côtés de la tête utiles pendant les combats. Ces bosses sont en fait deux os spéciaux, reliés aux naseaux et recouverts de peau, qui donnent une grande résistance au groin de cet animal fouisseur.

Têtes des 5 continents. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b211f6-tetes-des-5-continents

Têtes des 5 continents

René de Saint-Marceaux (1845-1915) : études des têtes des cinq continents pour le monument de l'Union postale universelle, l'Europe, l'Amérique, l'Asie, l'Océanie, l'Afrique. Plâtre (Musée des beaux-arts de Reims).